Saint Guénolé – Les saints de Bretagne

 

Code XL : ILLU-TR-ST-GUE-IO-

Titre :

Saint Guénolé, fondateur du Monastère de Landévennec

Saint Guénolé, fondateur du Monastère de Landévennec est, des plus grands abbés bretons, l’un des plus populaires et des plus connus, même en dehors de la Bretagne.

Guénolé naquit dans une famille déjà touchée par la grâce de la Sainteté : son père était Saint Fragan, ses frères Saints Jacut et Guethenoc, sa mère Sainte Gwenn (Sainte Blanche) et sa sœur Sainte Clervie. Dès son plus jeune âge, il réalisa un premier miracle par la guérison de sa sœur Clervie, à qui une oie avait blessé l’œil. Guénolé, soignant sa sœur et en signant l’œil, lui rendit la vue. A partir de 7 ans, il fut élevé par Saint Budoc, reconnu pour son savoir et sa grande Foi. Le voyage réalisé par Saint Fragan vers l’île de Lavret fut d’ailleurs marqué par un second miracle de Saint Guénolé qui calma la tempête qui allait les emporter par un signe de croix. C’est pour cette raison que Saint Guénolé est également invoqué pour la quiétude des marins et pour la protection des femmes de marins-pêcheurs.

Dès sa jeunesse, le jeune Guénolé montre une dévotion toute particulière, et sa jeunesse est emplie d’autres saints miracles, comme la guérison d’un aveugle ou encore ces guérisons de ses frères moines dès son entrée au Monastère.

Un jour, il reçut une vision de Saint Patrick l’invitant à quitter l’île de Lavret où se situait le Monastère de Saint Budoc, pour rechercher une solitude plus complète, pour toujours mieux servir Dieu. C’est ainsi qu’accompagné de douze moines, Saint Guénolé passa près de deux ans sur l’îlot de Topebig (Tibidy), à l’intérieur de la rivière du Faou. Toutefois, fatigué par la rudesse de cette terre, Guénolé choisit de se déplacer et de se rendre dans une forêt non loin de là et d’y construire un premier monastère, rustique.

Les religieux affluent, rejoignent le Saint Abbé et même le Roi de Cornouailles, Gradlon, entend parler de Saint Guénolé. Le Roi vint donc saluer le Saint Abbé, lui offrant des dons magnifiques, que Guénolé refusa : « Celui qui s’attache à des vanités court grand risque des richesses éternelles ». Mais il appuya le Roi Gradlon dans sa volonté de fonder le siège épiscopal de Quimper et d’y faire asseoir Saint Corentin.

La suite de cet article est disponible sur le numéro 10 de Kroaz ar Vretoned, Aux origines de la Bretagne

Saint Guénolé, dans l’ouvrage La Jeunesse bretonne sur les pas de ses Saints, par X.Langlais

Type d’illustration : Livre illustré

Année : à préciser

Type d’édition : Illustration originale (IO)

Thème : Thème religieux (TR)

Dimensions : 5 X 10

 

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